L'INFORMATIQUE AU SECONDAIRE

INTRODUCTION Le monde de l’éducation comme tous les secteurs vitaux se veut des métamorphoses technologiquement. Jadis l’enseignement n’avait que l’imprime pour support de la matière, l’enseignant était physiquement oblige être en face des enseignés. L’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication viennent alors assouplir l’enseignement dans tous ses aspects ; sachant qu’un « media ne chasse pas un autre… ce qui changent c’est sont les modes et les outils de production". Dans les pays du nord, l’enseignement se fait pour nos jours, en linge alors que dans le pays du sud pas de présence physique de l’enseignant, pas d’enseignement. Les livres, parfois les notes des cours écrites a la main restent les seuls supports de la matière a transmettre aux élèves. L’Afrique reste en retard dans l’installation et l’appréciation des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTC) dans le monde non seulement de l’éducation mais aussi de multimédia mais cette Afrique n’est pas du tout exclue de l’évolution technologique. « au sud du Sahara, par exemple, on compte en moyenne un abonnement pour 3000 habitants en dehors de l’Afrique du sud » En RD Congo, l’accès et l’utilisation des NTIC dans l’éducation reste une histoire de rêve pour les écoles secondaires mais aussi pour certaines universités et instituts supérieurs, tout cela parce que les institutions scolaires et universitaires fonctionnent sous de difficultés financières énormes. Le gouvernement a parfois le souci d’équiper ces établissements, la finance bloque le processus. Les NTIC, on ne peut pas s’en passer. Il sied, dans ce travail de nous demander si l’enseignant congolais du 21 siècle ou la technologie remplace de plus en plus la présence physique, n’intègre pas les NTIC dans sa carrière, sur quel support cet enseignant conserve sa matière , se ressources pour renouveler sa matière. Pour quelle fin il peut utiliser, s’il en trouve, un ordinateur, un flash disque. Nous allons répondre des ces questions en nous basant sur l’expérience de l’ institut VUMBONGO dans le village de kasugho, territoire de Lubero, Nord Kivu, RD Congo. Si a nos jours , les NTIC sont venues rendre plus aise toute chose, il faut alors accepter tous les maux que ces NTIC ont envers les usagers. En réalité, les NTIC, dans l’éducation, permettre d’avoir une formation actualise, et mondialiser. Tentant de répondre aux questions poser ci haut, nous pouvons dire que les enseignants de l’institut VUBONGO utiliseraient moins les NTIC dans leur carrière, cette école aurait le livre et note des cours pour supports de la matière a transmettre aux élèves et auraient Moins de connaissance sur le NTIC. OBJECTIFS DU TRAVAIL Toute démarche scientifique s’élabore suivant certains objectifs. Nous dirons avoir réussi que si nous atteignons l’ objectif suivant : Déterminer le niveau de connaissance sur les NTIC par les enseignants de l’institut dans les écoles secondaires. BUT ET INTERET DU TRAVAIL But Comme le monde se technologise, nous avons pris soin de mener une enquête sur l’intégration des NTIC dans l’enseignement secondaire pour vouloir savoir a quel niveau les NTIC sont exploites et a quelles fins. Intérêt A l’issu de notre enquête, la personne qui nous aura lu et qui aura le gout d’aider l’enseignant congolais en matière de NTIC pourra s’y référé pour ce qui est du degré d’usage des NTIC ; a d’autres chercheurs et enseignants le présent travail leur permettra de savoir la place des NTIC dans l’éducation au 21 siècle. METHODE ET TECHNIQUES DE TRAVAIL Méthode: est un ensemble de démarches que suit l’esprit pour découvrir la vérité […] . Pour ce qui nous concerne, nous avons fait usage de la méthode analytique qui consiste pour nous de décomposer notre cible a plusieurs éléments qui seront réunis pour saisir notre objectif après l’analyse des réponses de chaque élément. Ici élément, ce sont les enseignants qui seront enquête : personne âpres personne. Techniques : nous attendons l’outil matériel aidant le chercheur d’atteindre sa visée. Ainsi nous avons fait usage des questionnaires écrits et interviews suivies d’observation libre. Enquête par questionnaire : nous l’appelons ainsi, car c’est une suite des questions écrites que nous avons remis aux enquêtés et qui ont répondu par écrit. L’enquêté devait nous remettre a l’immédiat le questionnaire répondu. Enquête par observation : nous avons fait curiosité de visiter les bureaux de l’institut Vumbongo pour savoir quel type d’outil y sont utiliser pour conserver, renforcer la matière a transmettre aux élèves. Enquête par interview : suppose pour nous a une série des questions orales auxquelles l’enquêté répond oralement. Ainsi dans ce travail nous pouvons avoir certaines déclarations en sources orales (des enquêtés). CHAP.I : LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION ET L’EDUCATION EN RD CONGO I.1.Considération économique en Afrique Alors que les pays du nord engagent des réflexions stratégiques et formulent des plans pour entrer dans la société de l’information, ceux du sud font de navettes dans des guerres tribales, ethniques, parfois religieuses . En 1998, le Canada lance l’initiative « un canada blanché » qui fédère six programmes. Il met l’accent sur la multiplication des accès, notamment en direction des écoles, bibliothèques et communautés autochtones. La France démarre le PAGSI (Plan d’action du gouvernement pour entre dans la société de l’information) en 1998 . Six chantiers sont définis : l’enseignement, la culture, la modernisation des entreprises, des services publics, l’invention technologique et la régulation. Les règles appliquées aux NTIC sont encore plus défavorables pour l’Afrique. Les données du net circulent sur des liaisons loues. Les pays du sud, dont la RD Congo, avec une économie médiocre ont moins de chance de bénéficier des avantages lies aux NTIC suite a leur cout exorbitant. Cette situation est pourtant réversible. Tout dépend de la gestion de la chose publique. Pour la defavorabilite des règles des NTIC, nous pouvons, ici, cite l’exemple du Sénégal qui loue des linges des connexions vers les états unis et l’Europe. Lorsque l’internaute américain consulte un site sénégalais, il utilise cette linge payée par le Sénégal. Et c’est toujours le sénégalais qui finance lorsque l’internaute sénégalais consulte un site américain[…] Cette situation renchérie encore le cout des services d’accès aux NTIC, alors qu’en toute équité chacun devait payer la moitié des frais raccordement des avec ses voisins. En pareille situation, en quand l’intégration effective des NTIC dans l’enseignement en Afrique ? 1.2. Fracture numérique en RD Congo : Etat de lieu des NTIC Si dans les pays du nord, l’explosion des NTIC a engendrer une progression notable des applications disponibles dans la vie courante et dans vie professionnelle ou point de banaliser l’usage des outils informatiques tel n’est pas le cas en RDC, ou cette évolution des NTIC se fait a pas de tortue. « il n’existe jusqu'à présent aucun plan directeur relatif aux NTIC en RDC » cette situation consacre de cet effet, une navigation a vue, laissant libre court a chaque acteur de tirer son épingle du jeu. Si au niveau des écoles secondaires on assiste a une mutation de l’ancienne section commerciales et administrative en section informatique et administrative ou les machines a écrire ( dactylographiques) sont remplacées par des ordinateurs en RDC, la question que nous on se pose est de savoir qui vont utiliser ces ordinateurs alors que les enseignants méritent aussi une formation en la matière , avec quelle énergie ces ordinateurs fonctionneront ? 1.3. De l’accessibilité des NTIC dans des écoles en RDC Si à nos jours l’éducation reste classique en RDC, c’est pour trois raisons, nous le croyons : • Absence d’une volonté politique nationale de développement des NTIC • La disparité criante dans la fourniture énergétique a travers le pays • La faiblesse du pouvoir d’achat de la population. Le citoyen congolais, n’a pas totalement tord ; le gouvernement a travers le ministère de la recherche scientifique, celui de l’enseignement primaire secondaire et professionnel et celui de l’enseignement supérieur et universitaire, doit dispenser a chaque citoyen la formation qui, a terme, le mettra a même de faire des technologies de l’information et de la communication une utilisation raisonnée et sienne. Actuellement rien n’ est fait, ni pour l’enseignement secondaire ni pour l’enseignement ni pour la formation professionnelle, ce qui s’observe ce sont des frais d’études qui sont en charge des parents, les bourses d’études sont mises en l’oubliette, « la part du budget alloué au secteur de l’éducation étant de moins de 1%pour l’exercice budgétaire de 2003 » . Pour MPOTO LYANGO, coordonnateur national de Congo Concern Network, CCN, « si environ 5% de la population a un téléphone cellulaire, moins de 1 % fréquente le cybercafé et seulement 0,1% est connecte a internet » Pour le ministre de l’enseignement supérieur et universitaire MASHAKO MAMBA, « les nouvelles technologies de l’information et de la communication devront faire leur entrée dans les Systems éducatifs congolais car devenus incontournable pour une formation de qualité » Pour être court, disons que l’enseignement en RDC est loin de faire recours aux NTIC ; seulement parce que la géographie du pays ne permet pas la consommation du courant équitable du barrage Inga de 106 000 Mw, dont 44000Mw stockes au site de production du courant, la manque de vo0lonte politique, financier et intellectuelle , qui apprendra a qui les NTIC et avec quel moyen ? telles sont les causes et principales causes de retard de la RDC dans l’intégration de NTIC dans l’enseignement tant supérieur que secondaire. CHAPITRE II : PRESENTATION ET ANALYSE DES RESULTATS La présentation de nos résultats se fait dans des tableaux simples et claires, ces tableaux ainsi suivit d’une interprétation, nous présentent alors les fins d’usage et la connaissance des NTIC par les enseignants au seconadire. II.1.POSSESSION DES CONNAISSANCES RELATIVES AUX NTIC AUESTION Reponse Ni Fi F% Avez-vous des connaissances sur l’usage de internet, ordinateur, flash disc, téléphone? oui 5 0.56 56 Non 4 0.44 44 Total 100% Source : enquête au près des enseignants Commentaire : si nous trouvons les connaissances sur ce que nous qualifions des matériel ces NTIC par les enseignants, la encore nous devons savoir encore les fins d’usage de ces matériels . ils peuvent reconnaître les matériels mais sans savoir a quoi servent ces matériels. II.2.USAGE DES NTIC DANS LES ECOLES EN RDC QUESTION Model Réponse Ni Fi F% Comment vous utilisez : Internet Recherche scientifique 2 0.22 22 Communication messagerie 3 0.33 33 Je ne sais pas 4 0.45 45 Total 100% Ordinateur Saisie des notes des cours 3 0.33 33 Stockage des matières a enseigné 0 0 0 L’école n’a pas d’ordinateur 6 0.67 67 Total 100% Flash Stockage des matières a enseigné 3 0.33 33 Je n’ai pas de flash disc 6 0.67 67 Total 100% Téléphone Ouverture avec extérieur 7 0.78 78 Stocker certaines informations imagées 2 0.2 22 Total 100% Source : enquête au près des enseignants Eu égard aux résultats de ce tableau, les NTIC s’utilisent moins pour les fins éducatifs le peu d’enseignant qui fréquentent l’internet l’exploite pour la messagerie et non la recherche pour améliore leur service au près des enseignés, pourtant l’ogre de connaissance si l’exploite très bien. Ainsi soutient Bonjowo, « alors que les techniques de l’information et de la communication représentent une force puissante nouvelle, leur adaptation et leur utilisation en Afrique sont limitées par divers problèmes comme une infrastructure inadaptée, une politique nationale et un faible niveau de connaissance en TIC » Dans les écoles de la RDC le peu des documents saisi sur ordinateur le sont hors des installation de l’école, certaines écoles congolaises ne sont même pas alimentée en courant voir même les élèves ne savent pas les courant électrique même un groupe électrogène est absente dans une école. II.3.POURQUOI L’ENSEIGNEMENT AUDIOVISUEL DANS LES ECOLES SECONDAIRES Les études effectuées dans le domaine de la psychologie de l'apprentissage ont mis en évidence les avantages offerts par l'emploi de moyens audiovisuels dans l'enseignement. L'utilisation de moyens audiovisuels permet, en faisant simultanément appel à la perception visuelle et auditive, l'assimilation d'une quantité plus grande d'informations, que par un seul de ces sens. Un autre avantage réside dans le fait qu'il est désormais possible d'atteindre une population, scolaire ou non, nombreuse et dispersée, et donc de pallier l'insuffisance de moyens d'encadrement. Enfin, l'enseignement audiovisuel permet une plus grande ouverture de l'école sur le monde extérieur. De nombreux pays, parmi lesquels figurent la France, le Canada, les États-Unis, ont commencé à exploiter les avantages de l'enseignement audiovisuel en développant une télévision éducative et des programmes spécialement conçus et adaptés à ce mode de transmission des connaissances. Des expériences analogues ont été réalisées dans nombre de pays en voie de développement (Inde, Niger, Brésil) par le biais de satellites. Au Royaume-Uni, l'université ouverte diffuse par l'intermédiaire de la radio, de la télévision et de centres régionaux un enseignement général. Aux États-Unis, des satellites de communication distribuent une programmation d'enseignement à toutes les stations publiques de télévision : certains programmes sont diffusés, d'autres peuvent être regardés en circuit fermé. À mesure que progresse la technologie, les possibilités éducatives augmentent. L'apparition d'une technologie d'ordinateurs peu onéreuse et de moyens de plus en plus perfectionnés de stockage en masse des données, y compris des disques optiques et des CD-ROM, a fourni aux professionnels de l'enseignement des outils de travail d'une grande qualité. De cette image tiree de engarte 2009, nous trouvons plus de difference entre le nord et le sud seulement par l’apprentissage de l’outil informatique. Dans les pays industrialisés, l'équipement des établissements scolaires en ressources informatiques (ordinateurs, Internet, logiciels, etc.) est une priorité. L'ordinateur est de plus en plus intégré aux méthodes d'apprentissage des enseignants. Les logiciels multimédias sont par exemple aujourd'hui utilisés comme un outil privilégié d'enseignement et d'éveil. III.4. RECOMMANDATIONS POUR L’INTEGRATION DES NTIC DANS L’EDUCATION SECONDAIRE Pour la question qui a concerne les recommandations, les réponses ont été diversifiées. Certain enseignants soutiennent que le ministre de l’enseignement primaire et secondaire , doit, par sa compétence et son autorité voire son influence doter les écoles des matériels de NTIC selon les nécessites de chaque section et option (42%); par contre d’autres pensent que l’intégration dans l’enseignement des NTIC est une affaire de tous et le ministre et le volonté politique des dirigeants congolais mais aussi de ceux des écoles. Ces derniers devront d’abord former des enseignants dans les NTIC apte a transmettre ces connaissances d’abord aux corps enseignants puis aux élèves (58%). De notre part, nous pensons que l’intégration des NTIC dans l’enseignement secondaire est une affaire pas du ministre, mais du gestionnaire de l’école, ceci parce que les écoles en RDC sont en 60% privées. C’est l’affaire du ministre dans les écoles officielles, cependant celles reconnues par le ministère devraient bénéficies des avantages du transport, dédouanement, déclaration, etc des matériels de NTIC. Une question reste en suspens : entre Etat congolais et Citoyen congolais qui doit être responsabilité de l’éducation de la jeunesse congolaise ? CONCLUSION Le domaine de l’éducation n’est pas un domaine de moindre considération ou une activité de tout le monde dans un état comme la République Démocratique du Congo , c’est l’activité la plus dure et la première pour une société qui se veut moderne. C’est elle qui forme des cadres pour tous les domaines d’un Etat. Les NTIC, on ne peut pas les échapper. Avec les NTIC, ce qui était hier une montage incontournable , c’est au jourd’hui une pleine facile a marcher voire courir L’enseignant actuel devrait être enseignant que s’il a une connaissance usuelle des NTIC dans sa carrière enseignante. Les gestionnaires, pour former des cadres au temps du siècle doivent fournir d’efforts énormes pour leur éducation de base. Par cette enquête, nous pensons, sans au tant dire finir, avoir tenté élucider l’état de lieu des NTIC dans les écoles en RDC. Nous pouvons,… Si nous voulons le changement dans nos écoles. BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE BIBLIOGRAPHIE 1. Bonjowo,J. Internet, une chance pour l’Afrique, ed Karthala, 2002, 208p 2. Dictionnaire, Microprojet, Italie, 2004 3. MASHAKO MAMBA, l’université primaire sur le primaire et le secondaire, disponible sur www.ccn.com 4. MWAMBA TSHINSUYA, J.b le rapport des résultants de l’enquête sur l’état de lieu des TIC a Kinshasa , 2006 (disponible au www.africatime.com 5. RENAUD, P. contexte des NTIC: les aspects économiques et évolution des techniques, in Formation des journalistes professionnelle a l’utilisation de l’internet, Kinshasha, 2001, WEBOGRAPHIE 6. Htt/ www.internet.gouv.fr,in RENAUD, P. p.3 7. htt/.www.collectivitsingieuses.ico.gc.ca, in RENAUD P, p.3 8. Htt/www.ccn.viabloga.com 9. http//www.ccn.viabloga.com